Giulia, née entre figuiers, vignes du Sud et lavande de Provence, pétillante comme un jeune vin léger et franc. Italicus, élégant piémontais aux racines calabraises et au parfum de bergamote. De leur romance est né Gigi, un amour d’été à savourer à l’apéritif.
Voici donc que juillet s’avançait, avec ses promesses d’exotisme et d’éphémères romances d’été. Giulia n’était là que depuis 8 mois tout juste et déjà, sa popularité la précédait sur les terrasses élégantes de la Méditerranée. Sa fraîcheur, son léger teint de pêche faisait tourner bien des têtes sans qu’il soit besoin d’alcool. Pétillante comme un jeune vin italien, elle était née quelque part, dit-on, entre figuiers de Corse, vignes du Sud et champs de lavande de Provence, élevée avec amour par un sommelier dans le respect des traditions familiales. Légère peut-être mais franche et sans détour. Puis vint un jour le bel Italicus, paré de bleu et d’or, que l’on reconnaissait les yeux fermés à son délicat parfum de bergamote. Né piémontais, avec des racines calabraises et siciliennes, il avait l’allure altière des grandes maisons auxquelles, d’ailleurs, il appartenait.
Leur première rencontre, comme prédestinée, fut effervescente. Spritz ! entendirent même celles et ceux qui y assistèrent. Cocktail inédit de finesse et de caractère, sans mièvrerie doucereuse, leur union s’avéra si fusionnelle qu’on ne les désigna plus que d’un seul nom, Gigi. Si leur romance ne devait durer qu’un été, il faudrait tout de même s’en abreuver comme d’un élixir de jouvence, à commander à la terrasse de La Chèvre d’Or à Èze-village, au bar du romantique hôtel Hermitage Monte-Carlo, à l’Eden Rose à Bormes-les-Mimosas ou pour consommer cette alliance en toute intimité chez vous, bientôt chez Millésima, en ligne et en boutique.
