Sa jeune maison, Tiphaine Cogez Rousseau l’a voulue légère, naturelle et odorante comme un nuage au petit matin. Derrière la poésie de Brume Orpin,on découvre une haute parfumerie nouvelle génération, entre savoir-faire artisanal et chimie verte, qui se déploie en cinq récits olfactifs profondément ancrés dans la nature.
De la brume, elle veut garder la légèreté enveloppante, la subtile évanescence d’un nuage qui naît avec le jour. De l’orpin, elle veut retrouver la vivacité naturelle, la résilience tranquille des plantes de rocailles du jardin de son enfance. Tiphaine Cogez Rousseau s’appelle désormais Brume Orpin, épousant le crédo d’une nouvelle haute parfumerie qui vise à susciter les émotions olfactives les plus intenses comme l’impact environnemental le plus réduit.
Formée auprès d’Olivier Theyskens chez Rochas, de Christophe Decarnin chez Balmain, du grand Francis Kurkdjian ou encore à l’école Hermès, cette lyonnaise d’origine a conservé des grandes maisons la foi dans la création et l’exigence dans le moindre détail, des valeurs auxquelles s’ajoutent celles d’une jeune femme moderne. Une attention de tous les instants pour la santé des humains et de la planète qui les porte.
Sa première collection, lancée à l’automne dernier, fruit d’une collaboration avec le nez Leslie Gauthier, réunit 5 récits olfactifs inédits qui dessinent les contours d’une jeune marque qui ne fait pas mystère de son ambition. Dans la forme – packaging éthique, identité visuelle soignée – comme dans le fond – ingrédients naturels et chimie verte –, inventer une nouvelle histoire du parfum nommée Brume Orpin.
