La nature cache parfois ses bienfaits dans les espaces les plus inattendus. Pour Pépins, jeune marque de cosmétique vauclusienne, les noyaux et pépins de fruits constituent un trésor insoupçonné que sa science transforme en une gamme de soins riche en actifs naturels.
Il y a dans le mot même quelque chose d’inattendu. Un pépin, c’est d’ordinaire ce qui dérange, ce que l’on recrachait enfant avec une mine dégoûtée. Chez Pépins, c’est l’inverse qui se produit, où le déchet devient matière précieuse, signe d’un renversement de paradigme. À la naissance de sa fille, le couple fondateur éprouve le désir d’exercer sur le monde un impact positif. La marque se dessine alors sur une idée simple mais féconde : l’insignifiant peut abriter une puissance insoupçonnée. Dans les pépins et noyaux de fruits, elle découvre, au fil de ses recherches, un concentré de vie – huiles riches en acides gras, antioxydants, vitamines – et l’intuition qu’un autre rapport à la beauté est possible.
La gamme de soins Pépins, formulée par un docteur en biochimie, associe les actifs de pépins de raisin, de pomme, de framboise ou de grenade dans des textures à la fois sensorielles et rigoureuses. Gel nettoyant, sérum, huile sèche, crème visage et corps, le rituel de soin rejoue le dialogue entre science et nature. Au-delà de la formulation, Pépins interroge la valeur même du soin à l’heure de la surconsommation. Revaloriser le déchet, transformer le résidu en ressource manifeste un geste de résistance autant qu’une parabole poétique. Où le pépin fait figure de chance.
