Beauté

Andromée. Galaxie de beauté

Laëtitia Van de Walle revient à la matière comme d’autres, à une source. Après avoir fondé Lamazuna, pionnière en beauté bio, elle réinvente avec Andromée une cosmétique de l’essentiel, dont les actifs, issus de matières vouées au déchet, sont délicatement pressés à froid et décantés pour libérer des bienfaits insoupçonnés.

Lorsque Laëtitia Van de Walle lance Andromée, elle n’en est pas à son coup d’essai. On lui doit déjà Lamazuna, l’une des premières marques à avoir introduit la cosmétique solide et pour laquelle elle s’est vu décerner l’ordre national du mérite, tout de même. Une décennie d’avance, mais aussi de tâtonnements, d’itérations industrielles, de casse-tête logistiques, de rêves écologiques percutés par la réalité. Une expérience fondatrice qui l’a conduite à créer Andromée comme un retour à l’essentiel, la matière. Et l’envie d’aller plus loin encore dans le respect de la nature et de la peau. Dans les paysages de l’Ardèche et de la Drôme (auquel son nom rend hommage), Andromée collecte ses actifs naturels parmi les matières organiques vouées au déchet et leur offre une nouvelle vie.

Ainsi, la jeune marque valorise les akènes de framboise – micro-pépins visibles à la surface du fruit – récupérés chez un glacier ardéchois, des noyaux d’abricots et de prunes cassés et pressés lentement, des pépins de raisin libérés après distillation. Le mantra d’Andromée ? Pression à froid, décantation naturelle, circuits ultra-courts. Un engagement à bannir le superflu et les ingrédients importés, pour privilégier des huiles bio stables, traçables et locales qui composent ses précieux sérums pour le visage et distinguent sa vision de la cosmétique circulaire. Plus qu’une gamme de produits, Andromée est une philosophie qui défend le bien et le bon pour offrir le beau. Pour les fêtes, la marque nous donne une occasion d’en juger avec deux coffrets réunissant ses soins emblématiques, à s’offrir ou à offrir, disponible sur andromée.fr

© Studio Zilizou

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