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Cette semaine, en mode zéro plastique, partons pique niquer sans tout n… |
BONNES NOUVELLES DU SUD, n°151, 14.04.23 Si la chasse aux œufs pascaux vous a redonné le goût du grand air et de la gourmandise réunis, pourquoi ne pas profiter du week-end ou, mieux, des vacances scolaires qui sont déjà là, pour vous offrir la plus belle salle à manger du monde, à savoir, la nature méditerranéenne ? Voici donc notre sélection thématique de la semaine dédiée à l’art de savoir bien pique (sans) niquer en pleine nature, garantie no OGM et zéro plastique. |
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Derniers jours de l’expo Ghada Amar au Mucem, Marseille.
Dernier week-end pour cette première rétrospective de l’artiste franco-américano-égyptienne en France. Plus d’informations en ligne. |
Vendredi 28 avril, Visiteurs du Soir au MAMAC, Nice.
Dans le cadre du Festival d’art contemporain Les Visiteurs du Soir organisé par le réseau Botox(s), le MAMAC propose une programmation nocturne, ponctuée notamment par une performance chorégraphique de la Compagnie Nahlo. À réserver très vite par ici. |
Paola Pivi au [mac], Marseille.
La réouverture du [mac] est l’occasion d’une invitation à l’artiste italienne Paola Pivi qui, outre ses pièces les plus emblématiques, présente une œuvre créée pour l’occasion, Free Land Scape, constituée de passerelles suspendues en denim. À découvrir avant le 6 août 2023 |
Jusqu’au 11 juin, Julien Fournié au SCAD de Lacoste. Première exposition du travail du styliste et couturier français qui a travaillé pour la Maison Dior ou Givenchy, et représente l’une des figures majeures de la mode de demain, jusque dans ses dimensions numériques. Pour le découvrir, c’est par là. |
Mercredi 19 avril, la Fondation Camargo vous accueille à Cassis.
Une remarquable résidence d’artistes et de chercheurs.ses dans un cadre magnifique aux portes du Parc National des Calanques… Pour vous y projeter le temps d’une journée, réservez votre place juste ici. |
Samedi 15 avril, Journée mondiale de l’art de l’UNESCO.
On en profite pour faire le tour des musées, galeries, centres d’art et autres lieux dédiés. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de l’UNESCO. |
Une bonne claque gourmande et vitaminée |
Le très sonore label bAAM! est né d’une déception. Celle de Tristan, skateur, surfeur, pâtissier et boulanger (tout ça en un seul homme), lorsqu’il a goûté une barre de céréales pendant un séjour chez l’un de ses amis à la Réunion. Bim bam boum, il décide de remédier à ce problème. Les barres énergétiques devraient être goûteuses, saines et sans composition farfelue. Point. Installé depuis à Marseille, où il a posé ses planches, Tristan imagine des recettes originales, puisant l’inspiration dans ses voyages, ses souvenirs et son environnement, pour sa plus belle figure, la Barre Athlétique Artisanale de Marseille. Qu’il entrevoit comme une co-création avec cette ville multiculturelle où il se sent chez lui, remplissant le but rêvé qu’il partage avec son associé Florent : nourrir les autres en qualité. Avec des recettes originales sucrées comme la barre café, gingembre et cacao ou salées comme la tomate, piment et curcuma, le coup de fouet est assuré, autant pour faire fonctionner cette belle machine qu’est votre corps que pour satisfaire ces critiques subtiles que sont vos papilles. Le tout, sans sucres ni conservateurs ajoutés, sans gluten mais au contraire, beaucoup d’ingrédients locaux et bio, emballés dans un film de cellulose 100% compostable. Que vous cherchiez à tenter un ollie bien trick ou cherchiez simplement un petit plaisir à croquer, goûtez vite ces pépites détonantes à commander en ligne, ou dans des points de vente du Sud. |
Vin vivant à décapsuler, c’est l’alu |
Voici une marque doublement iconoclaste qui nous plaît tout particulièrement et que l’on s’empresse de glisser dans notre panier pique-nique printanier. La première disruption (comme ne dit plus notre cher PR) signée Canetta s’apparente d’emblée à un crime de lèse-majesté : du vin de qualité dans une canette en alu. Et pourquoi pas un Dom Pérignon Plénitude 3 dans une gourde Quechua ? Parce que, à l’inverse du classique combo bouteille en verre-bouchon en liège, l’aluminium utilisé ici s’avère totalement neutre et conserve le vin dans des conditions de stabilité parfaite. Le second avantage majeur, c’est que la canette de Canetta représente l’équivalent d’un verre et demi. Ce qui invite, vous en conviendrez, à la modération. La seconde disruption, chère à notre cœur et à notre sphère organoleptique, consiste à ne sélectionner exclusivement que des vins vivants, travaillés en conscience et amour, pour cette première cuvée, en rouge, blanc et même orange (vin blanc de macération, bien sûr, pas le vin d’orange de votre grand-mère provençale) par Amós Bañeres, Alex Ruiz et Francesc Boronat, vignerons catalans aussi créatifs que militants. Et pour vous rassurer (est-ce bien nécessaire) du sérieux de la chose, derrière Canetta, se cache nul autre que Luca Pronzato, initiateur du collectif We Are ONA, qui réunit des chefs de haute volée pour des rendez-vous exclusifs et restaurants éphémères mémorables. Vous pouvez vous procurer le double pack découverte Canetta (4 blancs, 4 rouges) sur le e-shop de la marque ou guetter l’arrivée des prochaines cuvées sur le site en ligne. |
Crédit photo © Boulangerie Zielinska |
Zielinska, levain de la jeunesse |
Si nous avons pleuré la disparition de la Briqueterie, nous n’avons pas tardé à nous réjouir de retrouver, en lieu et place de feue notre librairie niçoise préférée, le fournil Zielinska, dont les graines semées dans un mouchoir de poche non loin de la bibliothèque Nucéra avaient déjà fait la réputation. Aux commandes de sa boulangerie éponyme, féminine et féministe, pétrie de connaissances en blés anciens et de conscience environnementale, Dominika met à profit ses études d’histoire, ses recherches sur les espèces cultivées autrefois – à mi-chemin de l’archéologie, la botanique et la génétique –, son étroite collaboration avec les banques de semences pour fournir chaque matin une incroyable collection de pains et brioches, fruit d’un levain de 24h vivant, savoureux et beaucoup plus facile à assimiler. Collection précieuse, et pourtant présentée dans la simplicité d’une échelle de boulanger, où l’on redécouvre des saveurs oubliées et un plaisir gustatif que nous décrivent avec la verve et la gourmandise d’un sommelier expert nos boulangères passionnées, soulignant de façon inattendue les accords mets-pains que favorisent leurs spécialités panaires. Et puisqu’on ne saurait laquelle parmi la fleur de Berry, la Pétanielle noire de Nice, l’engrain ou l’amidonnier recueille nos faveurs, laissez-nous vous recommander la nouvelle proposition de Zielinska pour le printemps : casse-croûte, salade du jour et focaccia pour 19,50 €, le tout bio, fait maison avec de bons produits locaux de saison, il va sans dire. Idée parfaite pour une journée digeste et délicieuse au grand air, à moins que vous ne préfériez l’intimité de la petite salle adjacente à la boulangerie pour un brunch sans blogueuse. |
L’application qu’on préfère |
Durant 15 ans, Aurélie Benoit a travaillé comme styliste dans l’industrie textile, puis le temps des confinements est arrivé, et avec lui, son lot de quêtes intérieures. Celle d’Aurélie, depuis le cabanon familial de son compagnon en plein cœur des Calanques de Marseille, l’a conduite à s’interroger sur la meilleure façon de puiser dans des choses plus vraies pour produire du beau et du raisonné. Avec la technique textile de l’application, proche visuellement du collage papier, elle sublime les tables et maisons avec ses rideaux, nappes ou encore serviettes, en draps chinés de coton ou de lin, auxquels elle confère ce supplément d’âme que l’on chérit. Avec son label Collècta, elle réalise également des objets de décoration en céramique, empreints eux aussi de la touche artistique d’Aurélie et embellis de fragments de souvenirs retrouvés dans les Calanques, comme une ode à un art de vivre plus conscient, solaire et résolument méditerranéen. Ses créations faites à la main évoluent au fil des trouvailles, cultivant la chaleur qui nous est chère avec l’utilisation de couleurs vives, et d’archétypes méridionaux, comme la sardine, les amphores ou la végétation, interprétée sur un mode matissien dans l’évidence de la simplicité. Pour embellir le quotidien, venez cueillir ces fragments d’histoires en ligne. |
D’aussi loin qu’ils s’en souviennent, les écoliers japonais connaissent le furikake, ce drôle de condiment qui marche avec tout, conditionné dans de petits sachets individuels à l’effigie, souvent, de leur manga préféré (ce qui en fait, vous l’aurez compris, l’équivalent nippon de nos pots à moutarde Schtroumpfs ou Lucky Luke, exotisme en prime). De culture franco-japonaise, Natsuko connaît sans doute les deux mais n’oublie jamais le premier dans sa cuisine familiale, elle qui a accompagné 10 ans Alain Ducasse à New York, Tokyo, Paris ou Londres. Arrive la vague C19 et l’envie de cuisiner maison et surtout plus sain. Or, si le furikake disponible dans le commerce est plein de saveurs, il est aussi bourré d’additifs. Natsuko se lance alors dans une quête, accélérée par son binôme Julie, pharmacienne, experte en nutrition et entrepreneuse à succès, qu’elle initie à cette poudre magique : fabriquer le premier furikake 100% naturel. Pour ce faire, elles se dotent de deux cartes maîtresses : Caroline Joucla, nutritionniste-diététicienne experte et Keisuke Matsushima qui enchante Nice depuis des années avec sa gastronomie transculturelle étoilée. L’équipe ne tarde pas à faire des étincelles : elle intègre ToasterLab, le meilleur accélérateur de start-up de la food, décroche la bourse French Tech de la BPI et cartonne sur Ulule en octobre 2022 pour leur campagne de financement participatif. Furifuri est lancé. Alors, y’a quoi dedans ? Des algues de Bretagne, certifiées bio, superaliment bourré de bienfaits, du sésame torréfié et d’autres ingrédients naturels, très bons et un peu secrets. On peut quand même vous dire que tout ça est riche en protéines, fibres, vitamines et minéraux et, surtout, remplace avantageusement le sel (que l’on consomme 2 fois trop, nous dit l’OMS) en boostant énergie et défenses immunitaires. Et comme si ça ne suffisait pas, les sachets sont en kraft recyclable et la marque reverse 1% de ses ventes pour l’éducation des enfants à la nutrition. Pour saupoudrer la vie de toute la fantaisie Furifuri, rendez-vous sur son e-shop, où vous pourrez même vous abonner pour ne jamais manquer ou vous procurer votre tablier assorti qui parachèvera votre triomphe en cuisine. |
Pouvoir mettre à profit un temps clément pour un pique-nique improvisé, sans avoir à se soucier de tout préparer, ni risquer de produire des déchets, c’est ça le KIF. Quentin Hervé et Laëtitia Mulinazzi, fondateurs de la première enseigne marseillaise dédiée à l’apéro et aux piques-niques, sont là pour vous l’expliquer. Avec son concept d’épicerie fine marseillaise, véritable temple des bons produits issus d’une agriculture respectueuse de l’environnement, un service de livraison, assuré dans des bocaux en verre réutilisables et sacs en tissu lavables, le KIF nous invite à profiter au pied levé des journées printanières où la chaleur sait encore être douce pour jouir de la vie au grand air et d’un délicieux repas aussi convivial qu’impromptu. De la charcuterie sans nitrites, des tartinades de saison, des salades, des pains au levain, du kombucha, des fromages fermiers ou encore des bières artisanales, il y a forcément de quoi vous régaler, les pieds dans l’eau ou les yeux sur les collines de Provence. Avec des produits locaux, sourcés à 70% auprès de fournisseurs situés dans un rayon de 250 km autour de Marseille, des conditionnements réutilisables, des recettes originales, KIF est à dévorer sans hésiter, de l’entrée jusqu’aux couverts comestibles. Retrouvez KIF et ses trésors au 21 Grand Rue à Marseille et en ligne.
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Crédit photo: © Kookabarra |
Un drôle d’oiseau à boire |
Le Kookaburra est un petit oiseau rieur qui s’établit sur les terres australiennes. Utilisé comme emblème et inspiration du nom de la marque Kookabarra, elle rappelle à son créateur, Jérémie Marcuccilli, son voyage océanique et le souvenir attachant d’une créature curieuse. Quelques années plus tard, de retour sur le continent européen, et plus particulièrement en Provence, le projet des jus Kookabarra voit le jour sous le soleil. Jérémie avait à coeur de proposer des créations saines et durables, riches en vitamines et aux vertus préservées : il développe alors, avec l’aide du Centre Technique des Conservation des Produits Alimentaires, un concept breveté nommé HPP, qui permet – de manière assez savante par l’usage de l’extraction à froid et d’une pression hydrostatique de 6000 bars – de conserver le jus de fruit frais jusqu’à 150 jours, le tout sans conservateurs ni sucres ajoutés. En plus de prolonger la durée de vie des jus, l’entreprise allonge celle de la Terre avec une bouteille 100% recyclable et un travail assidu avec des producteurs locaux et respectant la saisonnalité. Et pour ça, le Kookaburra lui dit merci. Une traçabilité aussi transparente que la composition de ces rafraîchissements bienvenus, alors que l’appel de l’extérieur ne cesse de croître exponentiellement à la présence de notre astre préféré. Il est même possible de composer sa box sur mesure (pour qu’il n’y ait pas de jaloux au prochain pique-nique dominical). Tous les fruits frais à boire, de la gamme détox à la bio sont disponibles sur le site internet, dans la boutique de la marque à Cavaillon ainsi que dans les cafés, hôtels et restaurants ayant choisis d’accueillir cet élégant petit volatile sur fond de bouteille translucide. |
Cette bouteille cache peut-être une révolution d’avenir. Car son procédé breveté et très savant de photolyse du chlore par rayonnement UVA permet à LaVie de traiter, en 15 minutes chrono via son purificateur design, l’eau du robinet. Léger, simple d’usage par un simple branchement sur une prise de courant, très peu énergivore (1,5 € pour 1 000 l), le dispositif nous permet surtout d’éradiquer les bouteilles plastiques. Plus encore, l’entreprise promet de consacrer ses bénéfices à la mise au point de systèmes adaptés aux régions du monde privées d’accès à l’eau potable. Derrière cette innovation made in Lambesc, primée au Consumer Electronic Show de Las Vegas, œuvrent Saadi Brahmi et Pascal Nuti avec une conviction dont leurs précédentes expériences dans l’énergie renouvelable, le génie mécanique ou les véhicules électriques suffisent à témoigner. Buvons vite l’eau de LaVie. LaVie, modèle PURE, purificateur d’eau en aluminium avec bouteille 1 l en verre borosilicate, bouchon en bambou naturel est disponible au prix de 179€ sur le site de l’entreprise. |
Crédit photo: © L’abeille qui emballe |
Bravo, vous avez banni le plastique à usage unique, au moins dans votre tête. Mais il est parfois difficile de l’éviter au quotidien. Bonne nouvelle, vous pouvez apporter sans regret votre film plastique à votre tatoueur et le remplacer par une petite collection de ces bee wraps colorés miracles. Pour notre pique-nique de la semaine, nous avons choisi l’Abeille qui emballe. D’abord parce que le nom est cool. Ensuite parce que les abeilles ont bien travaillé, fournissant leur cire made in Provence pour habiller, associée à la résine de pin bio des Landes et à l’huile de jojoba bio, du coton écologique certifié Oeko-Tex. Bref, que du bon, produit artisanalement par Guillaume Willm à Cagnes-sur-Mer dans la prédestinée Impasse des Fleurs. Rappelons que ses wraps aux motifs chatoyants épousent la forme des aliments ou plats à protéger par la seule chaleur des mains, se rincent très facilement à l’eau froide et se réutilisent ad lib. Et pour vous prouver, si besoin était, que ces wraps se lavent sans greenwasher, faites un tour sur le blog engagé de la marque. Sinon, ne tardez pas à commander pour tester sur la boutique en ligne. Vous serez emballé·e.
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Crédit photo: © Il était un fil |
Naouel Bekkaie a créé Il était un fil en 2014. Depuis, elle imagine des sacs au diapason de notre précieux Sud, ensoleillés et forts en caractère. Chaque pièce est fabriquée à la main, en cuir français ou italien, dans un atelier où il fait bon vivre et travailler. Les intemporels comme les cabas ou les pochettes vintages en cuir s’y mêlent aux essentiels méditerranéens, comme les fameux paniers de plage, que l’on voit refleurir au retour des beaux jours, ou encore le sac filet, indispensable pour toutes les escapades, de la promenade rituelle au marché de producteurs. Des pièces modernes, éthiques et durables, qui vous garantissent de ne jamais perdre le fil, ou votre style. Pour l’affirmer, il est même possible de personnaliser entièrement son sac sur le site de la marque. Avec 288 000 combinaisons possibles, vous trouverez toujours de quoi être la plus belle (et originale) même pour pique-niquer. Tous les modèles Il était un fil vous attendent au 14, boulevard André Aune à Marseille ou directement en ligne. |
Crédit photo: © Promenade La Ciotat |
Quelques idées de balades idéales autant qu’inédites pour aller poser votre nappe dans l’herbe ? Pour de très beaux points de vue sur Cassis, on fait le tour de la pointe chauve de la Cacau depuis Sormiou, à la rencontre des trémies, ouvrages souvenirs de l’exploitation de la pierre sauvegardés avec l’aide de l’architecte Rudi Ricciotti, (3 km, 1 h*). Pour un pique-nique pariétal, on vise les grottes avec vue sur les îles de Marseille et le phare de la Couronne en suivant le circuit du Vallon de Jaume de la Côte Bleue, départ de l’Office du tourisme de Carry-le-Rouet (10 km, 4h*). Pour un panorama à 360° sur la Provence, depuis les crêtes de l’Étoile et du Mont Julien, avec vue imprenable sur Marseille et le grand large, la Sainte Victoire et la Sainte Baume, le Cap Canaille et par temps clair, le Ventoux et les Alpes (boucle de 11,8 km, 5h*), partir « à fond les vallons » depuis le pays d’Aubagne. Pour prendre la Grande Tête, plus haute falaise maritime de France, on arpente la Boucle 394 avec vue spectaculaire sur la baie de La Ciotat (9 km, 4h*). Pour emboîter le pas des bergers, on emprunte le Sentier de la Pastorale au cœur du massif du Tallagard, à Salon-de-Provence, pour une balade nature au fil de restanques et bories, anciens pavillons de chasse et fermes provençales typiques (5 km, 1h30*). Pour parler aux oiseaux, on retrouve l’ancienne transhumance qui relie les Alpilles à La Crau via le point culminant des Opies à 496 m, en compagnie, si vous ouvrez vos yeux à Aureille, du traquet oreillard, de la pie-grièche méridionale ou de l’aigle de Bonelli. Pour tous les détails de ces balades et bien d’autres encore, connaître leur itinéraire, leur difficulté, voir le très vivant site myprovence.com de Provence Tourisme qui nous a soufflé ces idées. (*pause pique-nique non comprise évidemment) |
Et pour finir, notre bonus de la semaine, clin d’œil et d’oreille gallois aussi weird que primesautier à notre drôle de condiment niço-nippon découvert plus haut. Enjoy ! |
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