Saint-Tropez en ligne de mire, le Jura en ligne de fond : Saint-Tropez Eyewear mêle élégance solaire et exigence artisanale, pour des montures aussi précises que lumineuses.
Quatre fondateurs, deux générations, un même terrain de jeu : Saint-Tropez. Malgré son nom rayonnant, ce serait une erreur de réduire la toute jeune Saint-Tropez Eyewear à la carte postale. Pour créer leur marque de lunettes lancée en 2024, Éric Malavelle, Harry Bessis, Marine Sara et Lou Malavelle ont choisi de conjuguer deux mythologies, faisant rimer Jura et Riviera. Si Saint-Tropez est leur source inépuisable d’imaginaire, c’est pourtant dans les forêts jurassiennes que naissent leurs créations, réalisées de A à Z dans les ateliers de lunetterie de la région de Morez, berceau historique du savoir-faire français. Chaque monture est dessinée, fabriquée, polie, ajustée avec un soin méticuleux, dans un circuit court revendiqué, porté par la volonté de réhabiliter toute la noblesse d’un artisanat de haute précision.
Le style s’affirme, quant à lui, méridional et solaire. Car même dans les frimas du Jura, Saint-Tropez ne s’oublie pas. Chaque modèle puise ainsi dans l’imaginaire tropézien : la BB, clin d’œil à la star à jamais indissociable du village le plus célèbre du monde ; la 55, référence à « Et Dieu créa la femme » ; la Torpes, hommage à Saint-Torpetius, officier de Néron martyrisé et décapité pour s’être converti au christianisme, et dont le corps placé dans une barque s’échoua sur les côtes de l’actuel Saint-Tropez. Si la marque est déjà riche d’histoire, elle s’incarne très concrètement dans une sélection grandissante de lieux, opticiens sélectifs à Paris et dans le Sud (Marc Le Bihan, L’Adresse, Bagatelle Ramatuelle). Mais la nature même de Saint-Tropez Eyewear n’est-elle pas de briller dans des hôtels et palaces où l’idée de voir et être vu prend tout son sens : Ritz Paris, Le Mas Candille à Mougins, ou encore le Strato à Courchevel.
