Libérer le mouvement, s’affranchir du cycle : avec Menina, Marine, Maelle et Laure signent une révolution pour toutes celles qui vivent entre sport, océan et féminité. Un maillot pensé pour protéger durablement — de la piscine au surf — sans détour, ni plastique à usage unique. Un jalon pour une vie plus libre et responsable.
Dans la solennité feutrée du Prado à Madrid, la célèbre toile de Velázquez ne cesse de fasciner depuis des décennies, comme un jalon essentiel de l’histoire de l’art. Leur Prado à elles a beau être marseillais, Marine, Maelle et Laure invoquent le même nom pour qualifier leur avancée tout aussi essentielle pour l’histoire de la femme : Menina. Moins passionnées de peinture que de sport et d’océan, les 3 entrepreneuses ont décidé de briser le sort. Le cycle menstruel ne sera plus synonyme d’entraînements manqués, de frustration imposée et autres pis-aller en plastique à usage unique. Avec l’élan que leur donne leur entourage de nageuses, surfeuses et championnes comme Emma Terebo, elles ont imaginé une nouvelle génération de maillots adaptés, offrant la protection en libérant le mouvement. Ainsi, Menina a développé une technologie à trois couches – drainante, absorbante, imperméable – pour garantir jusqu’à cinq heures de protection, même pour les flux abondants, avec, pour matière de choix, L’Econyl®, nylon régénéré à partir de filets de pêche et plastiques recyclés.
La gamme est fluide : sous-maillot Duna, ultra-fin, couleur chair, à porter sous tout maillot classique. Une-pièce, pensé pour la piscine et la nage intensive, résistant au chlore. Bikini ajusté, à séchage rapide, idéal pour le surf, paddle, voile ou kitesurf. Le tout fabriqué au Portugal (désolé Diego) et pensé durablement. Si chaque femme utilise jusqu’à 15 000 protections jetables dans sa vie, Menina la libère, des plages du Défi Monte Cristo aux Championnats de France de Surf, en passant par les clubs de Tahiti et de Nouvelle-Calédonie. Demain, qui sait ?, leurs maillots seront dans les musées.
